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Le wali de la région Taza-El Hoceïma-Taounat, M. Mohamed Amhidiya, a appelé, vendredi, les candidats de la province d'El Hoceïma aux élections législatives du 7 septembre prochain à faire montre d'esprit de citoyenneté et de responsabilité et d'hisser la pratique démocratique à un niveau qui reflète la détermination de toutes les composantes politiques au Maroc à consolider l'Etat de droit.
Les participants à un colloque organisé, jeudi à Rabat, par le Centre marocain des droits de l'homme (CMDH) ont mis l'accent sur l'importance stratégique que revêt la liberté de la presse pour l'évolution du paysage médiatique national.
Ce nouveau texte suscite cependant des interrogations :
L’épouse tenue de prendre “en charge… avec son époux… la responsabilité de la gestion des affaires du foyer familial et des enfants” (alinéa 3 de l’article 51 du code de la famille), est-elle obligée d’avoir un travail rémunéré pour faire face à ses nouvelles obligations ?
En fait, la nouvelle règle est beaucoup plus une reconnaissance de la prise en charge par l’épouse avec son mari de la responsabilité familiale, que ce soit par son salaire ou par son travail domestique, qu’une obligation à son égard.
Aussi, cette nouvelle règle n’est pas une porte ouverte aux maris qui, sous prétexte de chômage forcé ou provoqué, vont penser qu’ils ont désormais le droit de se décharger sur leurs épouses pour assumer seules les charges de ménage. Cette remarque nous amène à soulever une autre interrogation.
Le mari est-il toujours tenu d’entretenir femme et enfants ?
Les textes du nouveau code de la famille répondent clairement par l’affirmative à cette question (les articles 195 et 197).