Le Conseil de l'Europe (CE) a proposé au Maroc le statut de membre observateur de cette organisation afin de pouvoir jouer un rôle "particulier" dans le dialogue entre les deux rives de la Méditerranée, a annoncé lundi à Rabat, un membre de l'Assemblée parlementaire au CE.
"Nous invitons le Maroc à devenir membre observateur du CE de façon à pouvoir établir le dialogue et assurer le rapprochement politique, culturel et économique", a souligné Mme Josette Durrieu, également rapporteur de l'Assemblée pour le renforcement de la coopération avec le Maghreb, dont les propos sont cités lundi par l'agence gouvernementale MAP.
Je parle souvent de « process » dans mes billets décrivant l’installation d’une entreprise au Maroc (Voir le dernier billet intitulé « Process » de recrutement au Maroc). C’est un terme que l’on utilise surtout dans l’industrie ou dans les grosses entreprises. Je pense que c’est un des mots clef pour une réussite pérenne au Maroc. Une amie consultante me disait : « il faut faire fonctionner ton entreprise comme une usine ». Elle n’avait pas tord !
Plusieurs responsables ont souligné que les conventions, signées lundi sous la présidence de S.M. le Roi Mohammed VI, sont de nature à faire de la région du Grand Casablanca un pôle économique de dimension mondiale, sur la base d'une vision prospective.
Ainsi, le directeur général de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG), Mustapha Bakkoury, a indiqué, à titre d'exemple, que le projet d'aménagement de l'aéroport d'Anfa est à même d'offrir un nouvel espace foncier à la métropole et d'ouvrir la voie à l'édification d'une nouvelle ville répondant aux normes de la modernité.
Le service détaxe sera installé dans les aéroports et les ports du Maroc au mois de janvier prochain. Les passagers peuvent ainsi récupérer 13 % du montant de leurs achats.
À partir du mois de janvier prochain, les MRE et les touristes pourront récupérer la TVA sur leurs achats effectués dans les magasins et autres malls au Maroc. À l’instar des grandes capitales mondiales, le Royaume aura un service détaxe dans les aéroports et les ports, offrant ainsi aux voyageurs une raison de plus pour faire leurs emplettes dans les centres commerciaux marocains.
L'accord de coopération, signé mercredi 19 décembre à Rabat entre Aziz Akhenouch, ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime, et Habib Halila, représentant du Fonds de l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), et relatif au projet régional portant sur le « développement durable de la pêche artisanale méditerranéenne au Maroc et en Tunisie », vient l'étoffer. Initié par la Commission générale des pêches pour la Méditerranée, en continuation du projet Copemed, il est financé à hauteur de 450.000 euros, soit un peu plus de 4,5 millions de dirhams par l'Agence espagnole de coopération internationale.
Le taux de croissance économique au Maroc a atteint 2,5% en 2007 contre 8,1% en 2006, en dépit d'une conjoncture défavorable marquée par la flambée des cours du pétrole et du blé, a-t-on appris lundi auprès du ministère chargé des Affaires économiques et générales.
Cette croissance a été également ralentie par une mauvaise campagne agricole due à un déficit pluviométrique, selon la même source, rappelant que durant 2007, l'économie du royaume alaouite a fait face à une "hausse sans précédent des cours de pétrole (+70%) et des céréales".
L'Année 2008, nous la placerons sous le signe du renouveau continuel. Elle survient alors que notre pays réalise sa marche vers la modernité avec une conviction jamais entamée.
Une marche que les économistes qualifieraient, on n'échappe pas à leur langage, d'exponentielle. Sans sacrifier pour autant à l'optimisme béat qui se nourrit d'illusions, nous dirions que le Maroc connaît aujourd'hui des avancées immenses. Il n'est que de prendre en compte les témoignages des personnalités ou de simples touristes qui s'y rendent, régulièrement ou par intermittences, pour se rendre compte que leur regard frais, dénué de préjugés, neutre en quelque sorte, est d'abord un regard de vérité.
M.Mezouar qui était jeudi soir l'invité de l'émission "Tiyarat" (Courants) diffusée par la 2ème chaîne de télévision nationale "2M", a indiqué que le gouvernement est venu avec une nouvelle approche sur la réforme fiscale afin de créer une dynamique économique et de résoudre les déséquilibres sociaux au Maroc.
Cette nouvelle approche, qui vise à augmenter le pouvoir d'achat des citoyens et à ouvrir des opportunités d'emploi et des initiatives privées pour les jeunes, comporte pour la première fois une vision réformatrice de la fiscalité à moyen terme, a-t-il ajouté.
M.Mezouar qui était jeudi soir l'invité de l'émission "Tiyarat" (Courants) diffusée par la 2ème chaîne de télévision nationale "2M", a indiqué que le gouvernement est venu avec une nouvelle approche sur la réforme fiscale afin de créer une dynamique économique et de résoudre les déséquilibres sociaux au Maroc.
Cette nouvelle approche, qui vise à augmenter le pouvoir d'achat des citoyens et à ouvrir des opportunités d'emploi et des initiatives privées pour les jeunes, comporte pour la première fois une vision réformatrice de la fiscalité à moyen terme, a-t-il ajouté.
Le Maroc est un pays «très dynamique» en matière de prévention du blanchiment des capitaux, a affirmé Jean Pierre Michau, expert international en matière de lutte contre le blanchiment d'argent et de financement du terrorisme.
Le Maroc dispose de tous les ingrédients pour mettre en place un véritable système de lutte contre le blanchiment des capitaux, a souligné Michau, qui s'exprimait, mardi à Fès, lors d'une rencontre de sensibilisation autour du thème «la prévention du blanchiment des capitaux: une garantie pour une économie saine».
Les résultats d'enquêtes menées par le HCP avec la Banque mondiale et la BAD, sur 48 pays africains, confèrent au Maroc la 9ème place au niveau des prix, la 10ème pour les dépenses par habitant et la 4ème pour le PIB réel.
Le consommateur marocain qui se plaint de la cherté de la vie peut se rassurer. Il faut positiver puisque notre pays n'est pas le plus cher en Afrique. En effet, le Maroc se classe en neuvième position en termes de prix comparativement au reste des pays africains. Ainsi, une comparaison sur la base des niveaux de prix permet d'adjuger au Maroc le neuvième rang avec un indice de 1,18. À savoir que la base de référence donnée à cette comparaison est de l'ordre de 1 et ce, pour l'ensemble africain.
La conjoncture économique est porteuse, assure Mourad Kannabi, directeur des réseaux Afrique et Long Courrier de Royal Air Maroc. La hausse des cours du pétrole et la reprise de la croissance entretiennent forcément la demande des voyages. Par ailleurs, les gigantesques missions de paix de l’Onu dans certains pays est une clientèle sûre. C’est maintenant qu’il faut assurer une consolidation sur ces marchés afin d’être là au moment du décollage, explique le manager de Royal Air Maroc.
Casablanca, 18 déc (MAP)- L'Association des femmes chefs d'entreprises du Maroc (AFEM) a annoncé, lundi à Casablanca, le démarrage officiel du premier incubateur féminin au Maroc, une initiative qui vise à encourager la création d'entreprises par des femmes porteuses de projets innovants.
Ce projet, baptisé "Casa Pionnières", est le premier en son genre dans la région Afrique du Nord-Moyen-Orient (MENA).