Media/Presse (58)

Le Maroc a enregistré des «avancées positives» en matière de réforme audiovisuelle qui ont permis de renforcer la libéralisation du champ audiovisuel, sur la base du respect des droits de l'Homme et des valeurs de la société, a affirmé, mercredi, le ministre de la Communication, Porte-parole du gouvernement, Khalid Naciri.
En réponse à une question orale à la chambre des Représentants sur «la situation de l'audiovisuel public», le ministre a indiqué qu'une batterie de mesures ont été prises afin de poursuivre le processus de réforme et de mise à niveau.
Brosser la situation des médias dans les pays arabes n’est pas une mince affaire. L’Irex (International Research and Exchanges Board) s’est attelée à cette tâche, qui a décrit notamment les insuffisances du secteur des médias au Maroc. Plusieurs caractéristiques des médias marocains n’ont pas changé d’une année à l’autre. Pour recenser les opinions des professionnels des médias, l’Irex a travaillé avec un panel de journalistes issus de différents supports. Il en résulte que le Maroc se situerait dans la catégorie des pays qui atteignent partiellement les objectifs visés.
samedi, 11 juillet 2009 05:30

La presse marocaine en colère

Une vingtaine de quotidiens et hebdomadaires marocains sont sortis aujourd'hui sans éditorial pour protester contre des récentes décisions de justice prononcées contre trois journaux arabophones et un mensuel économique francophone, condamnés pour diffamation.Les quotidiens Annahar Al Maghribiya, Al Jarida Al Oula, Al Mounaataf, Attajdid, Al Ahdath Al Maghribiya, Akhbar Al Yaoum, Al Massae, Aujourd'hui le Maroc et Le Soir, ainsi que les hebdomadaires Al Ousbouâ, Al Ayam, Al Michaal, Al Hayat, Nichane, Al Watan, Le Canard Libéré, le Journal Hebdomadaire et Tel Quel sont sortis vendredi sans
Les requêtes en annulation de trois quotidiens marocains poursuivis par Mouammar Kadhafi pour diffamation ont été rejetées lundi par un tribunal de Casablanca, a constaté un journaliste de l'AFP.
Après l'annonce du rejet des demandes d'annulation des poursuites, Ali Anouzla, directeur du journal Al Jarida Al Aoula, Mohamed Brini et Mokhtar Labzioui, respectivement directeur et journaliste d'Al Ahdhat Al Maghribia, ainsi que Youssef Meskine, journaliste d'Al Massae, ont réfusé de répondre aux question du juge en signe de protestation.

Le patron du quotidien marocain Assabah a été définitivement condamné par la justice française pour diffamation envers un journaliste de la chaîne publique France 3 qu’il accusait d’être un agent des services secrets algériens, rapporte mercredi l’AFP.
Abdelmounaïm Dilami, directeur de la publication du quotidien en langue arabe Assabah, avait été condamné par défaut le 14 octobre 2008 à 3.000 euros d’amende et 5.000 euros de dommages et intérêts.
M. Darcos, qui s'est entretenu jeudi à Rabat, avec le ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique, M. Ahmed Akhchichine, s'est réjoui du niveau de l'enseignement marocain, en comparaison avec d'autres pays de la région Mena.


      
breathe_transmarocaine La Transmarocaine, raid aventure multisports (5 disciplines), valorise les valeurs humaines, le sport propre, le tourime responsable et contribue à la promotion du Maroc au plan national et international. Les inscriptions seront clôturées le 10 février.
Cette année la communication s'étend au Canada et aux Etats-Unis avec Breathe Magazine, le leader des magazines canadiens traitant des sports outdoor d'aventure et d'endurance.

lundi, 26 janvier 2009 18:53

Canal+ de retour au Maghreb

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Après plus de 7 ans d’absence, Canal + reprend pied sur le marché maghrébin. Le groupe de chaînes de télévision payante vient d’annoncer le lancement, via sa filiale internationale Canal Overseas, d’un nouveau bouquet à destination de l’Algérie, de la Tunisie et du Maroc. Au menu, plus de 25 chaînes, dont Canal+ Premium et ses déclinaisons Cinema et Family,

Comme attendu, en ce temps de célébration partout dans le monde de la Déclaration universelle des droits de l'homme, le polisario et la presse algérienne, tous deux fonctionnant en connivence, ont versé dans la facilité de la rhétorique catastrophiste, désignant du doigt la seule cible visible sur le viseur du fusil à lunettes algérien, en l'occurrence le Maroc.

Tandis que les clignotants de l'économie mondiale, notamment dans sa partie financière, continuent de virer au rouge et accentuer de plus en plus l'inquiétude des gouvernements, c'est un florilège de compliments et de satisfecit qui est déversé pour le Maroc. Il ne se passe pas de jour sans qu'un organe de presse, un expert international ou une institution n'expriment l'assurance au sujet des performances de l'économie marocaine, à tout le moins de sa « résistance » face à la sinistrose du monde.

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