Cette décision survient au moment où le dialogue entre le gouvernement et les cinq syndicats les plus représentatifs, dont la CDT, se poursuit dans sa troisième phase entamée lundi sous la présidence du Premier ministre, Abbas El Fassi.
Selon des observateurs, cette décision peut être interprétée comme « une manœuvre politicienne » tendant à « acquérir plus de légitimité » au niveau du positionnement dans l’échiquier politique et syndical marocain à une année des élections locales et professionnelles.
Aucune réaction gouvernementale n’a été enregistrée après « cette volte face » qualifiée de « spectaculaire » de la CDT constituée en 1978.
APA