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"The Red Awn" est le premier film à être projeté, samedi, parmi les 14 longs métrages en compétition pour le grand prix l'Etoile d'Or'' du Festival International du film de Marrakech (FIFM) ouvert vendredi.

Oeuvre du réalisateur chinois Hong Se kang Bai Yin, ce film traite des changements que connaît la société chinoise ces deux dernières décennies en narrant l'histoire d'un père de famille vivant à la campagne et qui s'est vu obliger d'émigrer vers la ville pour subvenir aux besoins des siens, sa femme et son fils de 12 ans, laissés sur place.


Sept baraques à usage d'habitation et deux autres à usage commercial ont été complètement détruites par un incendie qui s'est déclaré, jeudi à ''Korea'' à Casablanca, sans faire de victimes, apprend-on auprès de la protection civile.


  Quatre personnes d'une même famille, dont deux enfants, ont été tuées et deux autres grièvement blessées dans un accident de la route, survenu samedi sur la route El Jadida-Marrakech.

Les éléments de la protection civile de la wilaya de Tétouan, appuyés par les pompiers, les éléments des forces auxiliaires et les agents des services d'eaux et forêts, ont pu, vendredi matin, venir à bout d'un feu de forêt qui s'est déclaré, jeudi après-midi, dans la commune d'Aïn Lahcen (15 km de Tétouan)

La reconstruction de la capacité routière de l'ensemble du réseau routier revêtu au Maroc est estimée à 30 milliards de DH, a indiqué le ministre de l'Equipement et des Transports, M. Karim Ghellab, soulignant l'importance de préserver cette capacité et de l'adapter à l'évolution de la circulation.

A la lecture de l’article 78 du code de la famille qui a donné une nouvelle définition du divorce, on ne peut s’empêcher d’avoir l’impression du déjà vu. Les rédacteurs du code de la famille ont certes, adopté une nouvelle approche, mais dans le fond, l’homme et la femme ne sont pas considérés sur un pied d’égalité face au divorce. Pour la dissolution du mariage, la recherche de l’équilibre prend le pas sur le principe de l’égalité. D’où l’hésitation des rédacteurs du code de la famille entre la pérennité de tous les modes de dissolution du mariage, notamment, la répudiation pour l’homme. Pour la femme, les rédacteurs du code de la famille ont repris, le divorce judiciaire avec ses différents motifs, même ceux qui n’ont jamais été portés devant les tribunaux, comme le divorce pour abandon du lit, le khol’ et le tamlik. Mais le code innove en raison de l’orientation générale de la réforme dont l’objectif est la levée des injustices à l’égard de la femme.
Pour concilier entre pérennité et renouveau, les rédacteurs du code de la famille ont dû reprendre tout le chapitre sur la dissolution du mariage, commençant par la définition du divorce, en passant par des restrictions du droit du mari à la répudiation, l’assouplissement du droit de la femme au divorce, réglementant le khol’ et le tamlik, introduisant enfin d’autres modes de dissolutions de l’union conjugale.
mardi, 01 novembre 2005 02:37

Les rapports des époux avec leurs enfants

Le code de la famille institue de nouveaux rapports entre les père et mère et entre ces derniers et leurs enfants aussi bien pendant le mariage qu’après sa dissolution.
Consécration de la place de la mère pendant le mariage comme après sa dissolution
La première règle importante, qui change les rapports entre les père et mère à propos de leurs enfants, est celle prévue par l’article 51 qui fait de “La concertation en matière de décisions relatives à la gestion des affaires familiales, des enfants et de planning familial” une obligation commune des époux. En application de cette règle, le juge ne donne l’autorisation pour le mariage du mineur qu’après avoir “entendu les deux parents” (article 20 du code de la famille). Cette règle est valable même si les parents sont divorcés.
Pendant le mariage, comme après le divorce, la tutelle légale sur l’enfant appartient au père. Cette prérogative revient à la mère qui peut l’exercer même pendant le mariage en cas d’absence du père ou de son incapacité juridique (article 231 du code de la famille).
mardi, 01 novembre 2005 02:12

Mariage du mineur

Les cas où l’égalité est assurée entre l’homme et la femme face aux conditions du mariage :
L’âge du mariage : 18 ans révolus pour la femme et l’homme
“L’aptitude au mariage s’acquiert pour l’homme et pour la femme jouissant de leurs facultés mentales, à 18 ans grégoriens révolus” (article 19 du code de la famille).
Pour l’âge du mariage, la femme et l’homme sont placés sur un pied d’égalité, plus de distinction selon le sexe.
Cette règle a l’avantage d’uniformiser l’âge requis pour la jouissance des droits civils et politiques. On vote et on se marie femme, à l'âge de 18 ans. Aussi, la capacité matrimoniale est alignée sur la majorité légale qui est désormais fixée par le code de la famille à 18 ans (article 209 du code de la famille).
Une dispense d’âge pour le mariage des mineurs (article 20 du code de la famille)
Toutefois, une dispense d’âge est prévue par l’article 20 du code de la famille. Cette dispense bénéficie au garçon comme à la fille. Afin de prévenir les abus, et surtout pour prévenir les mariages précoces, la dispense n’est accordée qu’à de strictes conditions.
Elle est soumise à une autorisation du juge de la famille. Celui-ci rend une décision motivée expliquant l’intérêt et les raisons justifiant la dispense.