Signature électronique, droit d’auteur sur Internet… ces deux textes arrivent devant le Parlement. Rien que de très normal, sauf qu’il n’y a eu aucun débat public, pas même chez les principaux concernés.
Il aurait été logique que l’on entende des pleurs et des cris. Rien du tout!
Que les professionnels soient aux abonnés absents, quand le gouvernement puis les commissions parlementaires discutent de leur métier, là, il y a un problème.
Ce sont des textes politiques avec un fort contenu technique. Les deux aspects sont parfaitement indissociables: si l’un des deux volets est mal pensé ou mal rédigé, alors l’autre aussi perd sa pertinence. Malheureusement, l’histoire contemporaine de la législation marocaine fourmille de ces textes mal taillés.