MAP - Le corps d'un homme poignardé à mort et fourré dans un grand sac a été retrouvé mercredi tôt dans la matinée par une patrouille de police à proximité d'une boîte de nuit d'El-Jadida.
De source policière, on indique qu'il s'agit d'un homme d'une trentaine d'années, originaire de Youssoufia et résidant à Casablanca.
Les investigations sont en cours pour élucider les circonstances du crime, précise les services de police.
Eh bien, c’est carrément un coup de poing en pleine nuque que l’on s’est chopé ce mardi...
Apprendre à trois semaines des championnats du monde d’athlétisme que deux de nos athlètes et non des moindres, sont « soupçonnés » de dopage par la fédération internationale, n’est guère plaisant.
Quatre personnes, dont une femme, ont été tuées et trois autres grièvement blessées dans un accident de la route survenu samedi après-midi à 35 km de la ville marocaine de Beni Mellal, selon l'agence MAP.
L'accident s'est produit lorsqu'un camion semi-remorque et un grand taxi sont entrés en collision frontale dans la localité de Oulad Zmam,
La chirurgie prothétique (mise de prothèse) des articulations, et particulièrement celle assistée par ordinateur, est actuellement "bien maîtrisée au Maroc", a affirmé le président de la société marocaine de traumatologie orthopédie (SMACOT), le dr Abderrahman Bensaid.
Les jeunes apprécient de plus en plus l'autonomie, ils aiment prendre des initiatives et relever de nouveaux défis. Ils sont d’ailleurs plus nombreux à vouloir s’installer pour leur propre compte. Tour d’horizon des étapes à franchir pour créer leur entreprise.
Ils sont jeunes, ils ont des idées plein la tête - novatrices qui plus est - et ils souhaitent passer à la vitesse supérieure et créer leurs propres entreprises. C’est probablement l’une des décisions les plus importantes de leur vie. Par conséquent, il faut prendre le temps d’y réfléchir, et surtout de ne pas pécher par excès d’impatience.
Un projet de création d’entreprise, cela se construit. Et pour augmenter ses chances de succès, il est recommandé d'agir avec beaucoup de méthode, en respectant des étapes chronologiques. Il s’agit tout d’abord de trouver une idée de création d'entreprise.
Pour elle, c’est la pire matière qui lui a été inculquée, ainsi que les cours d’arabe littéraire , la poésie , la traduction , etc … c’était infernal, ces heures de cours ou elle ne pouvait guère en placer une ou elle était larguée car elle ne comprenait rien, ou elle s'est fait expulsée à cause de son indifférence et des bavardages(comme moi d'ailleurs)… même quand elle prenait son courage à deux mains pour participer en classe, elle se sentait ridicule à l’idée qu'elle va dire une connerie à deux balles sans parler bien entendu de ses tournures de phrases lors des essais)…..
Bien qu’elle adore lire les livres arabes( comme elle prétend dire), elle était hantée par cette langue. Elle se sentait incapable d’entretenir une discussion compréhensible et intéressante en arabe littéraire...D’un coté elle n'arrivait pas à faire passer le message (que ça soit pas écrit ou par oral). De plus, dés qu'elle prononce un mot ça partait en fous rires …
Elle se souvient s’y être mariée, il y a très longtemps, avec un forgeron, mais son mari “ne travaillait pas bien et avait toujours des problèmes d’argent”. Une ribambelle d’enfants l’attend au détour et un destin qui finit par s’entremêler dans les lignes rouges de l’existence desquelles on ne revient plus… Le mari meurt en 1980 d’un cancer de poumon. Les deux grands gaillards de la maison tournent mal et vivotent de petites affaires entre deal, vols et séjours répétés en prison. Ses filles commencent à découcher pour se prostituer ou “se marient mal comme moi”, dit-elle, reproduisant son propre schéma. L’aîné, avoue-t-elle d’une voix imperturbable qui n’est plus concernée par les drames, “est mort dans un accident de voiture… il a eu la tête et un bras coupés”, alors que l’autre fils “est actuellement à la prison de Oukacha, à Casablanca”. La petite femme, recroquevillée en fœtus sur les cartons, vit sa pièce tragique où elle a été enfermée pendant soixante-dix ans. “Ya ouldi, je n’ai rien fait à Allah ni aux hommes, termine-t-elle. Pendant très longtemps, je pensais que j’allais être préservée des malheurs de la vie mais je me suis trompée. Je n’aurai jamais cru qu’une personne de mon âge allait se retrouver dans la rue et vivre dans l’indifférence totale”. D’autres Zineb squelettiques aux visages anonymes, transfuges abominables de notre culture, errent en attente de la mort dans les rues froides des grandes villes. Finis le pays-famille, la tribu-nation, la légende des Anciens qui se la coulent douce et des Enfants bénis qui jouent les sauveurs à l’arrivée !