L'Union européenne (UE) s'est félicitée lundi de l'adoption par consensus, à la quatrième commission de l'ONU, du projet de résolution sur le Sahara, tout en appelant à la poursuite des efforts pour le règlement de ce différend.
Les établissements de protection sociale, entre les exigences de la loi et la nécessite de la qualification" est le thème d'une journée d'étude qui sera organisée le 18 septembre courant à Casablanca, à l'initiative de l'Entraide nationale.
Sept des treize armateurs de la baie d'Algésiras qui possèdent des licences de pêche dans les eaux marocaines, en vertu de l'accord Maroc-UE, ont mis en vente leurs licences pour 10.000 euros chacune, en raison de la " "faiblesse des captures" " dans les zones poissonneuses du Maroc, a-t-on appris mercredi auprès des armateurs.
Il est porté à la connaissance du public que la date limite de remise des offres relatifs à l’appel d’offres internationale n° 01/2007 se rapportant à l’étude relative à l’établissement de la carte d’aptitude à l’Urbanisation de la Province d’Al Hoceima, est reportée au 05 Juin 2007 à 10 h.
Les services de sécurité espagnols ont démantelé, mardi dans la localité de Ramonete (Murcie, est) un campement de baraques où vivaient des immigrés marocains dont 56 ont été arrêtés, a-t-on appris mercredi auprès de la délégation du gouvernement à Murcie.
Parmi les 56 immigrés marocains arrêtés, 29 ne disposent pas de cartes de séjour et un est mineur d'âge, alors que le reste sont légalement établis en Espagne, a-t-on ajouté de même source.
Nouvelle définition du mariage : Le mari n’est plus chef de famille
Pour les prétendants au mariage, leur futur engagement doit être pour la fondation d’une famille stable sous la direction commune des deux époux. Plus de chef de famille, plus d’autorité de l’un des époux sur l’autre. Les époux s’engagent aussi à vivre dans la pureté et la fidélité (article 4).Les fiançailles : on ne s’y engage pas à la légère.
Avec le Code de la famille, l’engagement responsable ne commence pas à la rédaction de l’acte du mariage, il est exigé dès les fiançailles. Le Code de la famille considère certes les fiançailles comme une promesse de mariage, mais n’a pas ajouté, à l’instar de l’ancienne moudawana, qu’elles ne constituent pas un mariage (article 5 du code de la famille). La raison : les effets des fiançailles entre les parties ont changé du tout au tout. Désormais, on ne se fiance plus à la légère. Il est vrai que le Code garantit le droit unilatéral de rompre les fiançailles, s’agissant d’une période probatoire (article 6 du code de la famille). Toutefois, si la rupture ne donne pas automatiquement droit à une réparation en faveur du fiancé délaissé, celui des deux fiancés, dont le fait cause un préjudice à l’autre, est tenu, à la demande de la victime, de réparer le préjudice causé (article 7 du code de la famille). C’est l’introduction en droit de la famille de la notion de l’abus de droit consacrée en droit civil.