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La lutte contre la violence dans les stades n'est pas l'affaire des seuls services de maintien de l'ordre, mais de tous les acteurs de la société, en premier lieu les instances sportives, estiment les participants à un colloque national organisé vendredi soir à Beni Mellal sur les actes de vandalisme dans les terrains.

Les différentes interventions à ce colloque organisé par l'Association régionale de la presse sportive de Tadla-Azilal, sous le thème "changeons de comportements pour un sport noble", ont été unanimes à constater que la violence dans les stades a atteint ces dernières années un "degré de gravité" et que l'approche sécuritaire est "insuffisante" pour juguler le phénomène.

La question de la promotion de la femme est au centre de l'action gouvernementale au Maroc, a souligné, mercredi à New York, Mme Najah Rhardisse du Secrétariat d'Etat chargé de la famille, de l'enfance et des personnes handicapées, lors d'un débat à l'Assemble générale de l'ONU.

alkhatabiLa guerre des Rifains contre le colonisateur espagnol et la fondation de l'Etat du Rif par Abdel-Krim Al Khattabi continuent de susciter un grand intérêt sur le plan académique par les historiens et les chercheurs.
 La lettre envoyée par Mohamed Azerkane, compagnon d'armes d'Abdel-Krim Al Khattabi et son ministre des Affaires étrangères, en1923 à M. Saavedra, a un grand intérêt historique. Nous la reproduisons, ici, pour contribuer à éclaircir un côté obscur de l'histoire du Maroc.

Depuis la décennie des années 90, l’Algérie est en proie à une guerre fratricide. La rupture du processus électoral en décembre 1991 a donné naissance à une guerre civile avec cette question qui demeure encore sans réponse : qui tue qui ? Terrain d’expérimentation de l’islamisme international, le pays a, depuis cette date, sombré dans le chaos.

La responsabilité est partagée entre les acteurs de cet épisode noir de l’histoire de l’Algérie : Le FIS (le Front Islamique du Salut) via son bras militaire l’armée de salut, le GIA (Groupe militaire armé), le GSPC (le Groupe salafiste pour la prédication et le combat) et bien entendu, l’armée régulière et les forces para-militaires. La vague des massacres en Algérie a pratiquement touché tout le pays.

 

Le code de la famille marocain est une source d'inspiration pour le monde arabo-musulman et même pour le monde occidental, a souligné jeudi lors d'une conférence à Washington, Rajaâ Naji El-Mekkaoui, professeur de l'enseignement supérieur et chercheur en droit privé, qui a été la première femme à présenter devant SM le Roi Mohammed VI une causerie religieuse pendant le mois sacré du ramadan, en 2003.
Elle a noté que ce nouveau texte est révolutionnaire à bien des égards et notamment en ce qui concerne la consécration des droits de l'enfant.
S'adressant à un parterre de chercheurs, professeurs et étudiants lors de cette conférence tenue au Centre des Etudes arabes contemporaines de l'université Georgetown, Mme El-Mekkaoui a indiqué que ce code, considéré comme Œ'un modèle extraordinaire'' par le monde arabo-musulman et par le monde en développement, en général, a été accueilli favorablement en Occident et a même eu un impact sur ce genre de législations dans certains pays.

dimanche, 12 février 2006 14:09

Y a que la famille qui reste...

  Quand elle se rend compte que ça fait plus de 11 ans qu'elle n'habite plus avec sa famille, plus de 11 ans qu'elle ne partage plus leurs quotidiens , plus de 11 ans qu'elle se livre à son propre sort. Ca fait un pincement au cœur et surtout ça lui fait un mal atroce quand elle voit toutes ces filles qui partagent tant de choses avec leurs mères .

Chaque fois qu'elle rentre pour le week-end ou pour les vacances , elle se sent comme une étrangère : la fille qui se permet tout, la fille qui touche à rien, la fille qui a droit à tout…. en d’autres termes une vraie Invitée digne du nom.

mercredi, 01 février 2006 20:45

sale histoire

abdelhak1.gif Des adolescentes racontent à leur père mort les souffrances endurées par sa faute. Un conte cruel du Maroc contemporain, un peu redondant.

Elles ont entre onze et quinze ans, et elles ont quitté la maison à l'aube, chassées par le père. Il a tué la mère et maquillé le meurtre en mort naturelle. Le médecin a fermé les yeux, en échange de quelques liasses. Débarrassé des indésirables, le père peut désormais s'endormir en paix "dans la chair grasse de sa nouvelle épouse".

Les quatre filles errantes se séparent au premier carrefour. C'est Chama, l'aînée, qui l'a décidé ainsi : "Nous avons quatre fois plus de chances de nous en sortir..."

Les rapports propres aux époux
On peut dire sans hésitation, qu’en matière de rapports entre époux, le code de la famille fait sa révolution contre l’esprit qui régnait dans l’ancienne moudawana. Celle-ci ne considérait pas les époux comme partenaires. Car la relation du mariage ne produisait pas pour eux les mêmes effets. Avec les textes auparavant applicables, le mariage avait, certes, certains effets communs, mais à côté, les droits de l’un des époux étaient des obligations de l’autre, aucun devoir mutuel d’entraide et d’assistance (la femme avait automatiquement le droit de demander le divorce pour indigence du mari, même si elle avait une fortune personnelle). Aussi, par le mariage, la femme engageait sa personne (obligations de fidélité, devoir d’obéissance, respect des parents du mari…) alors que le mari engageait ses finances (devoir d’égalité entre les épouses en cas de polygamie, devoir d’entretien…).
La femme majeure peut conclure elle-même son mariage, mais la tutelle matrimoniale est maintenue.Toute femme majeure peut désormais conclure elle-même son contrat de mariage. Contrairement à l’ancien texte (article 12-4° de la moudawana) qui limitait ce droit à la femme majeure orpheline de père, l’article 25 du code de la famille pose la règle clairement et l’étend à toutes les femmes majeures. “Il appartient à la fille majeure de conclure l’acte de son mariage elle-même ou de mandater à cet effet son père ou un des proches”.
Cependant, l’institution de la tutelle matrimoniale n’est pas pour autant abolie. Car l’article 24, précise auparavant que “la tutelle matrimoniale (wilaya) est un droit de la femme. Il est exercé par la femme majeure selon son bon choix et son intérêt”.
Mais le code de la famille a introduit deux innovations en la matière. Il laisse à la femme la liberté du choix du tuteur qui peut être soit le père, soit un de ses proches. Ensuite, le code n’impose plus à la femme la catégorie de parents susceptibles de jouer le rôle de tuteur matrimonial. Cette catégorie de parents était limitée, par l’article 11 de l’ancienne moudawana, aux consanguins à l’exclusion des utérins. Désormais, le tuteur matrimonial n’étant plus qu’un mandataire (article 25 du code de la famille), la femme peut mandater comme tuteur matrimonial le parent de son choix, son oncle ou son grand-père maternel par exemple.
Qu'il y avait eu mariage ou simplement compagnonnag, la question reste entière:Quelle place donner à celui ou celle avec lesquels nous avons partager un moment de vie, une fois l'histoire terminée?Idéalement, on devrait pouvoir rester amis puisqu'on s'est aimé. Tout le monde y gagnerait à commencer par les enfants quand il y en a dans le paysage. Mais cela demande des sacrifices.

Peut-on rester proche de ses ex ? C’est rarement le cas, du moins dans un premier temps, surtout si la séparation ne se fait pas d’un commun accord. Certains y parviennent toutefois, lorsque les conditions de leur rupture ne sont pas trop orageuses ou, avec le temps, quand la tempête s’est apaisée…

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