La lutte contre la violence dans les stades n'est pas l'affaire des seuls services de maintien de l'ordre, mais de tous les acteurs de la société, en premier lieu les instances sportives, estiment les participants à un colloque national organisé vendredi soir à Beni Mellal sur les actes de vandalisme dans les terrains.
Les différentes interventions à ce colloque organisé par l'Association régionale de la presse sportive de Tadla-Azilal, sous le thème "changeons de comportements pour un sport noble", ont été unanimes à constater que la violence dans les stades a atteint ces dernières années un "degré de gravité" et que l'approche sécuritaire est "insuffisante" pour juguler le phénomène.
La question de la promotion de la femme est au centre de l'action gouvernementale au Maroc, a souligné, mercredi à New York, Mme Najah Rhardisse du Secrétariat d'Etat chargé de la famille, de l'enfance et des personnes handicapées, lors d'un débat à l'Assemble générale de l'ONU.
Depuis la décennie des années 90, l’Algérie est en proie à une guerre fratricide. La rupture du processus électoral en décembre 1991 a donné naissance à une guerre civile avec cette question qui demeure encore sans réponse : qui tue qui ? Terrain d’expérimentation de l’islamisme international, le pays a, depuis cette date, sombré dans le chaos.
La responsabilité est partagée entre les acteurs de cet épisode noir de l’histoire de l’Algérie : Le FIS (le Front Islamique du Salut) via son bras militaire l’armée de salut, le GIA (Groupe militaire armé), le GSPC (le Groupe salafiste pour la prédication et le combat) et bien entendu, l’armée régulière et les forces para-militaires. La vague des massacres en Algérie a pratiquement touché tout le pays.
Le code de la famille marocain est une source d'inspiration pour le monde arabo-musulman et même pour le monde occidental, a souligné jeudi lors d'une conférence à Washington, Rajaâ Naji El-Mekkaoui, professeur de l'enseignement supérieur et chercheur en droit privé, qui a été la première femme à présenter devant SM le Roi Mohammed VI une causerie religieuse pendant le mois sacré du ramadan, en 2003.
Elle a noté que ce nouveau texte est révolutionnaire à bien des égards et notamment en ce qui concerne la consécration des droits de l'enfant.
S'adressant à un parterre de chercheurs, professeurs et étudiants lors de cette conférence tenue au Centre des Etudes arabes contemporaines de l'université Georgetown, Mme El-Mekkaoui a indiqué que ce code, considéré comme Œ'un modèle extraordinaire'' par le monde arabo-musulman et par le monde en développement, en général, a été accueilli favorablement en Occident et a même eu un impact sur ce genre de législations dans certains pays.
Chaque fois qu'elle rentre pour le week-end ou pour les vacances , elle se sent comme une étrangère : la fille qui se permet tout, la fille qui touche à rien, la fille qui a droit à tout…. en d’autres termes une vraie Invitée digne du nom.
Des adolescentes racontent à leur père mort les souffrances endurées par sa faute. Un conte cruel du Maroc contemporain, un peu redondant.
Elles ont entre onze et quinze ans, et elles ont quitté la maison à l'aube, chassées par le père. Il a tué la mère et maquillé le meurtre en mort naturelle. Le médecin a fermé les yeux, en échange de quelques liasses. Débarrassé des indésirables, le père peut désormais s'endormir en paix "dans la chair grasse de sa nouvelle épouse".
Les quatre filles errantes se séparent au premier carrefour. C'est Chama, l'aînée, qui l'a décidé ainsi : "Nous avons quatre fois plus de chances de nous en sortir..."