Les investisseurs des pays du Golfe arabe au Maroc, ont décidé, au terme de leur première réunion, tenue les 21 et 22 novembre à Rabat, de tenir la 2-ème édition de leur rencontre (GULFINVEST) en 2008 dans le Royaume.
Les participants à cette rencontre ont exprimé leurs remerciements et témoigné de leur considération à SM le Roi Mohammed VI pour l'appui que le Souverain ne cesse d'apporter aux investisseurs arabes, en particulier ceux des pays du Golfe.
Le roi des belges, Albert II, a signé un arrêté de reconnaissance des imams officiant dans les 43 mosquées reconnues dans la région wallonne, rapporte vendredi l'agence de presse Belga.
Le 1er septembre, les habitants de la ville de Témara se sont donnés rendez-vous à la
grande place jouxtant le Boulevard Mohammed V. Raison de ce rassemblement, le meeting politique organisé par Nabil Benabdellah, candidat PPS de la circonscription de Témara.
Le premier Congrès de la Fédération Africaine des Sociétés de Nutrition (FANUS) se tiendra, du 7 au 9 mai courant à Ouarzazate, sous le thème : "La santé nutritionniste et le développement humain en Afrique".
Initié en collaboration avec la Société Marocaine de Nutrition (SMN), le congrès prévoit des conférences plénières animées par d'éminents chercheurs africains et internationaux, des symposiums sur des thèmes d'actualité en nutrition et santé,
La confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et le département de l'éducation nationale ont signé une convention de partenariat pour un rapprochement interactif entre le monde entreprenerial et le milieu de l'enseignement supérieur.
Cet accord destiné à déblayer le fossé séparant l'université de l'entreprise a été signé entre le ministère de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur, de la formation des cadres et de la recherche scientifique et la CGEM, à l'issue d'une journée de réflexion,
Nouvelle définition du mariage : Le mari n’est plus chef de famille
Pour les prétendants au mariage, leur futur engagement doit être pour la fondation d’une famille stable sous la direction commune des deux époux. Plus de chef de famille, plus d’autorité de l’un des époux sur l’autre. Les époux s’engagent aussi à vivre dans la pureté et la fidélité (article 4).Les fiançailles : on ne s’y engage pas à la légère.
Avec le Code de la famille, l’engagement responsable ne commence pas à la rédaction de l’acte du mariage, il est exigé dès les fiançailles. Le Code de la famille considère certes les fiançailles comme une promesse de mariage, mais n’a pas ajouté, à l’instar de l’ancienne moudawana, qu’elles ne constituent pas un mariage (article 5 du code de la famille). La raison : les effets des fiançailles entre les parties ont changé du tout au tout. Désormais, on ne se fiance plus à la légère. Il est vrai que le Code garantit le droit unilatéral de rompre les fiançailles, s’agissant d’une période probatoire (article 6 du code de la famille). Toutefois, si la rupture ne donne pas automatiquement droit à une réparation en faveur du fiancé délaissé, celui des deux fiancés, dont le fait cause un préjudice à l’autre, est tenu, à la demande de la victime, de réparer le préjudice causé (article 7 du code de la famille). C’est l’introduction en droit de la famille de la notion de l’abus de droit consacrée en droit civil.