Le Maroc se rend au deuxième round des négociations de Manhasset, animé comme il l'était au mois de juin dernier, de la bonne foi et de la sérénité, outillé en cela d'une proposition qui a bénéficié d'une large adhésion des populations des provinces du Sud, et d'un soutien international clair et sans équivoque, notamment celui de puissances influentes, fortement impliquées dans la paix et la stabilité mondiales.
À l'approche des élections législatives, le bilan du gouvernement suscite le débat, certes. En même temps, la méthode Jettou fait des émules. Le chiffrage des programmes des partis devient à la mode.
CE constat s'impose de lui-même. Au terme des législatures passées, il n'y avait pas de débat sur le bilan du gouvernement. Parce qu'il n'y avait pas de programmes clairement préétablis pouvant donner lieu à une quelconque évaluation et donc au moindre débat. Quand des discussions politiques avaient lieu, elles étaient concentrées sur des questions du genre : qui va remplacer qui, avec la bénédiction de qui et comment ? Et de toutes les façons, le peuple ne fondait pas grand espoir sur le gouvernement. C'était uniquement le Roi qui pouvait lui apporter quelque chose.
Bien sûr, Abderrahman Youssoufi a eu le mérite d'avoir préparé un climat politique favorable à son successeur, Driss Jettou. Mais, ce technocrate et son équipe ont bousculé les habitudes. Jettou est le premier Premier ministre à avoir présenté un programme économique multisectoriel chiffré et daté. Programme dont il vient de dresser le bilan, non sans satisfecit.
Le journal koweitien "Assiassa " a émis l'espoir de voir l'Algérie cesser de s'ingérer dans la question du Sahara, en considérant qu'Algér est à court d'arguments pour étayer sa non implication dans le conflit artificiel du Sahara, qu'elle a crée au même titre que le front polisario.
Le Serviteur des Lieux Saints de l'Islam, le Roi Abdellah Ibn Abdelaziz d'Arabie Saoudite a eu des entretiens, mercredi à Janadriyah (40 km au nord-est de Riyad), avec la présidente de la Chambre américaine des Représentants, la démocrate Nancy Pelosi.
"Tout l'éventail des développements au niveau régional et international, surtout ceux concernant le problème palestinien et la situation en Irak, a été abordé" au cours de cet entretien, a rapporté l'agence saoudienne SPA.
Khalid Cheikh Mohammed a reconnu être impliqué dans une série d'attentats terroristes dont les attaques du 11-Septembre 2001 aux Etats-Unis, au cours de son audience, samedi dernier, à la prison de la base militaire américaine de Guantanamo à Cuba, selon un compte-rendu fourni mercredi par le Pentagone.
"J'ai été responsable de l'opération du 11 septembre de A à Z", a indiqué Cheikh Mohammed dans une déclaration lue en son nom par un officier américain qui le représentait lors de cette audience.
Les relations avec les pays du Maghreb figurera parmi les priorités de la présidence du Portugal de l'Union européenne, qui débutera en juillet prochain, a indiqué mardi le Premier ministre portugais, José Socrates.Lors d'une conférence de presse conjointe à Lisbonne avec son homologue tunisien, Mohamed Ghannouchi, au terme des travaux de la 1-ère session de la haute commission mixte luso-tunisienne,
, a confirmé mardi que les Etats Unis disposent d'informations qui font craindre que des attaques terroristes contre des vols commerciaux seraient en cours de préparation en Algérie."Nous avons reçu des informations qui font état de la possibilité d'attaques contre des avions commerciaux transportant des travailleurs occidentaux", a indiqué le porte-parole lors de son briefing quotidien.
La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice est attendue en Egypte le 25 mars, pour une rencontre avec le Quartette arabe sur le Proche-Orient, a annoncé, mardi, le ministre égyptien des Affaires étrangères, Ahmed Aboul Gheït."Mme Rice arrivera en Egypte le 25 mars et participera le jour même à une réunion du Quartette arabe dans la ville d'Assouan" en Haute-Egypte, a déclaré M. Aboul Gheït à la presse.
Le recours par des groupes extrémistes à la violence pour atteindre des objectifs politiques au Kosovo ne saurait être toléré et devrait être fermement condamné, a affirmé le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, dans un rapport au Conseil de sécurité."Cela fait maintenant près de huit ans que dure la Mission d'administration intérimaire des Nations Unies au Kosovo (MINUK) et le Kosovo,