Tijane Gzouny

vendredi, 06 janvier 2006 14:07

Fouad laroui: de l'OCP à la Litterature

laroui1s.jpg On se souvient des Dents du topographe, mordante chronique de la vie d'un jeune au Maroc (prix Decouverte Albert Camus). Le narrateur avait un regard trop lucide, et un besoin de liberté trop imperieux pour se resigner aux compromissions ou à la confortable mollesse que lui assurait son poste de haut cadre.

Il choisissait l'exil. Fouad Laroui, lui, l'avait bien sur precedé dans les froides contrées d'Europe. Pour y étudier d'abord, pour y enseigner dans les universités ensuite. Ingenieur de l'Ecole des Ponts et Chaussees, docteur de l'Ecole des Mines, il a fait apres ce brillant parcours une tentative meritoire et concluante de retour " au pays " : un passage de trois ans a l'OCP (Office cherifien des phosphates).

mardi, 27 décembre 2005 21:02

Construir una nueva cultura sexual

Todos tratamos de construir una nueva cultura sexual, aunque resulta un poco dificil hacerlo dentro de una sociedad como la nuestra.
 Hoy, esta vieja idea occidental de sexo està exteniendo a todo el mundo y es una forma de globalizaciòn. Es eso lo que queremos? No hay por qué destruir algunas de las distintas ideas de otras culturas al respecto, que no siempre se centran en el acto con el mismo interés que nosotros; por eso, en todo el mundo los adolescentes utilizan palabras inglesas como "sex" y "fuck" para parecer modernos porque en sus lenguas no existen palabras similares.

Ce nouveau texte suscite cependant des interrogations :
L’épouse tenue de prendre “en charge… avec son époux… la responsabilité de la gestion des affaires du foyer familial et des enfants” (alinéa 3 de l’article 51 du code de la famille), est-elle obligée d’avoir un travail rémunéré pour faire face à ses nouvelles obligations ?
En fait, la nouvelle règle est beaucoup plus une reconnaissance de la prise en charge par l’épouse avec son mari de la responsabilité familiale, que ce soit par son salaire ou par son travail domestique, qu’une obligation à son égard.
Aussi, cette nouvelle règle n’est pas une porte ouverte aux maris qui, sous prétexte de chômage forcé ou provoqué, vont penser qu’ils ont désormais le droit de se décharger sur leurs épouses pour assumer seules les charges de ménage. Cette remarque nous amène à soulever une autre interrogation.
Le mari est-il toujours tenu d’entretenir femme et enfants ?
Les textes du nouveau code de la famille répondent clairement par l’affirmative à cette question (les articles 195 et 197).
Pour l’établissement de l’acte de mariage des Marocains résidant à l’étranger, le code de la famille consacre pour la première fois la règle “locus regis actum”, usitée en droit international privé, qui signifie “la soumission de l’acte juridique, quant à la forme, à la loi du lieu où il a été passé”.
“Les Marocains résidant à l’étranger peuvent conclure leur mariage en conformité avec les procédures administratives locales, pourvu que soient réunies les conditions du consentement et de l’aptitude et qu’il n’y ait pas d’empêchements légaux et pas de renonciation à la dot “sadaq” ; et en présence de deux témoins musulmans et du “wali” si c’est nécessaire” (article 14 du code de la famille).
Par conséquent, le nouveau code de la famille admet pour la première fois la forme civile du mariage. Il dispense les Marocains établis à l’étranger de procéder à l’établissement de l’acte adoulaire, soit au consulat du Maroc du lieu de leur résidence, ou au Maroc pour ceux qui résident dans un pays où le Maroc ne dispose pas de représentation diplomatique.
La femme majeure peut conclure elle-même son mariage, mais la tutelle matrimoniale est maintenue.Toute femme majeure peut désormais conclure elle-même son contrat de mariage. Contrairement à l’ancien texte (article 12-4° de la moudawana) qui limitait ce droit à la femme majeure orpheline de père, l’article 25 du code de la famille pose la règle clairement et l’étend à toutes les femmes majeures. “Il appartient à la fille majeure de conclure l’acte de son mariage elle-même ou de mandater à cet effet son père ou un des proches”.
Cependant, l’institution de la tutelle matrimoniale n’est pas pour autant abolie. Car l’article 24, précise auparavant que “la tutelle matrimoniale (wilaya) est un droit de la femme. Il est exercé par la femme majeure selon son bon choix et son intérêt”.
Mais le code de la famille a introduit deux innovations en la matière. Il laisse à la femme la liberté du choix du tuteur qui peut être soit le père, soit un de ses proches. Ensuite, le code n’impose plus à la femme la catégorie de parents susceptibles de jouer le rôle de tuteur matrimonial. Cette catégorie de parents était limitée, par l’article 11 de l’ancienne moudawana, aux consanguins à l’exclusion des utérins. Désormais, le tuteur matrimonial n’étant plus qu’un mandataire (article 25 du code de la famille), la femme peut mandater comme tuteur matrimonial le parent de son choix, son oncle ou son grand-père maternel par exemple.
mardi, 04 octobre 2005 21:06

Les rencontres sur Internet

Qui d'entre nous n'a pas été tenté un jour, ne serait ce que pour assouvir cette instinctive et étrange curisité qui nous tient en haleine, de découvrir ces personnages qui se cachent derrière ces pseudonymes!! des pseudos choisis selon des attentes, envies, fantasmes qui peuvent être révélateurs et plaisants pour les uns, provocateurs et intimidants pour les autres;

l'important c'est être là présent prêt à discuter, cogiter, partager ces idées, se renseigner ou même aller jusqu'à rechercher l'homme ou la femme de sa vie, c'est ce qui s'est produit pourtant avec une cousine lointaine d'une copine pourquoi pas nous, ça n'arrive pas qu'aux autres!!!! on ne peut être mieux servis, ce n'est pas des sites de chat qui manquent pour accomplir cette mission non impossible, il suffit d'un ou deux petits clics dans une chambre publique ou privée et c'est tute l'hummanité qui est entre vos mains: Différentes tranches d'âges, cultures, couches sociales, religions, idéologies... tout le monde semble à la recherche de ce petit quelque chose, ce brin de folie, cette fantaisie qui manque à notre vie!!!

 La Compétition mondiale pour la maîtrise de la matière grise s'intensifie. L'enseignement supérieur est désormais un marché sur lequel s'affrontent les universités de multiples pays, cherchant à attirer les meilleurs professeurs et les uturs élites, nottamment des pays émergents.

Dominé par les américains, ce marchéce marché, qui portait en 2002 sur 1,9 million d'étudiants dans le monde et ne cesse de croître, est âprement disputépar les européens. La France a réussi à se maintenir au quatrième rang, selon l'OCDE, grâce à une politique quantitative. Mais les expertscritiquent le recrutement d'un trop grand nombre d'étudiants étrangers faiblement qualifiés, alors que les universités américaines et britaniques sont plus sélectives. Parallèlement, les universités se délocalisent de plus en plus, ouvrant des campus à l'étranger.

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